1.28.2010

Il était une fois Pharrell Williams

PHARRELL WILLIAMS x BKRW video INTERVIEW from Jay SMITH on Vimeo.


il fut un temps où pharrell williams était le mec le plus cool au monde de la pop. il a popularisé la casquette de camionneur, a dépucelé musicalement britney spears et créé justin timberlake. en scred, il est sorti avec la fille de mick jagger. il a produit l'un des meilleurs disques de r'nb qui soit, et a fait "grindin'" des clipse. ouesh, fresh. puis, il a croisé nigo de bape, et depuis, ça part un peu en vrille. le type non content d'être un producteur de talent, s'improvise chanteur, amateur d'art, graphiste, peintre, styliste. tout ce qu'il crée est tellement grossier (les chaises avec les bras humains, là, la toile avec murakami, les sapes bbc/ice cream) et dépourvu de style (téma les boots nike qu'il porte dans l'interview, dai!) qu'il faut que quelqu'un ose lui dire: "non! ça suffit". mais, non, on continue à lui lécher le ... whatever, je sais que des gens vont regarder ça jusqu'à la fin. moi, pharrell il ne m'intéresse plus que de loin. pourtant, il était si bien parti.

Ça sert à quoi?

non, sérieusement!

Daft ou pas Daft?


en fait, c'est superfacile, l'intox. avec toutes les rumeurs sur des probables nouveaux titres de daft, on est perdu. du coup, on pense à flavor flav quand il chantait "don't believe the hype". it's true, quoi... maintenant, c'est devenu un passe-temps favori pour des apprentis producteurs que de créer des sons et de nous les vendre comme un bootleg ou un nouveau single ou un morceau de tron (que je boycotte d'ailleurs) de la part du groupe fantôme. la pilule on l'avale facilement, puisque personne ne sait de quoi le groupe a l'air en vrai, et qu'il communique peu ou prou. la dernière fois que quelqu'un a vu le visage de guyman, c'était sur la couv d'un "Les Inrocks" des années 90, c'est pour dire. la mauvaise foi en moi me pousse à croire que ce morceau n'est pas d'eux. pourquoi? parce que c'est un peu mou du genou, voilà pourquoi.

1.25.2010

Beat by Mos Def

hahaha. curren$y lâche des joints comme toi tu lâches des clopes. c'est bête, c'est cool.

CURREN$Y - BREAKFAST from Creative Control on Vimeo.

Blakroc? Bof!

finalement, leurs teasers étaient 1000 fois meilleurs que l'album. ici, un résumé de leur passage chez letterman.

Tune Of The Day

pourquoi cette version n'est-elle pas sur l'album?

Baloji est Numéro Un


"que des numéros 10 dans ma team", disait booba. mais, pour certains, le numéro 1 suffit. ici, en l'occurence, je veux parler de konono numéro un, les griots électro du congo, qui font danser les bobos à travers le monde et jouent dans des galeries d'art depuis que damon albarn a dit en rigolant, qu'il avait tous les albums. ici, c'est entièrement justifié qu'ils soient de la partie puisque balo est congolais et qu'il cherche à en découdre avec les vieux démons de son pays. il avait déjà réussi un petit coup de génie avec "Hôtel Impala" (2007), l'album qui a canalisé toutes les questions et frustrations de la diaspora. il faut croire que ce n'était là qu'un premier volet, puisque son nouveau disque s'appelle "Kinshasa Succursale", et qu'il reprend là où on s'était arrêté la première fois. ca cogne sec et sans gants. baloji semble avoir digéré le manioc, et se désaltère désormais avec les petits sachets d'eauqu'ils vendent dans les rues de kin. il a remplacé les cornrows proprettes contre l'afro "rien à foutre". il est sûr de là où il va, et si sur "Hôtel Impala", il posait autant de questions que de 16, sur "Kinshasa Succursale", il braille, il flirte avec des chicks de là-bas, s'imprègne du truc. comme il le dit lui-même, c'est un album qui sent "l'huile de palme et la poudre". le tout enregistré à kinshasa avec nuthin but des artistes congolais. ha, mon coeur bat de joie. sortie prévue le 27.



ici, le making of du disque



et, pour les autres qui croient tout ce que damon albarn raconte

Defi-J le lit en ce moment...


je commence au début, par le commencement, la genèse selon krs-one, the teacha himself. monsieur "i AM hip-hop" fait à nouveau parler de lui, non pas par un nouvel album qu'on respecterait (parce que c'est lui) mais qu'on trouverait très moyen. non, cette fois-ci, il n'est pas dans les bacs, mais dans les étagères des librairies et des bibliothèques. oui, il sort un bouquin. un taf de longue haleine que ce "Gospel of Hip Hop". ca fait un baille qu'il nous annonce ce pavé de plus de 800 pages, mais moi honnètement, je n'y croyais pas trop et puis, je m'en foutais. qu'est-ce que le blastmaster pouvait bien raconter de neuf qui n'ait déjà été dit de la manière la plus incisive, marrante, nerdesque, politiquement incorrecte, précise et stylée en plus, par ce livre-ci? donc, comme pour toutes les choses le concernant ces jours-ci, la sortie de "Gospel of Hip Hop" ne suscite à nouveau que le respect de ma part, faute de vraiment titiller ma curiosité. perso, je ne le lirai pas. c'est trop copieux, et puis franchement ca sent la digression pure, genre le type dresse un parallèle entre le "hip" et le "hop" et le yin et le yang. okay. on t'aime bien krs. "MC's Act Like They Don't Know" me soutirera toujours un sourire, mais depuis "I Got Next", tu as l'ouie déficiente, tu radotes, te répètes et te contredis. un peu comme un très vieux monsieur aigri. ton livre, je crois qu'on le trouve sur amazon, non?
wuddup, kwistax?

1.20.2010

Tune Of The Day

imagine que ce soit michael qui chante.

Uh! Nice hat





norse projects via caliroots.

Entre la peste et le choléra

bon, quand on s'ennuie au taf, qu'est-ce qu'on fait? juste! on surfe sur le web. on va sur youtube pour chercher des clips de mos def, par exemple. parfois, on n'en trouve pas, mais youtube t'en suggère d'autres qui selon lui, ont un peu la côte. faute de mieux, en ce moment, mon attention se porte sur deux séries complètement nulles, que je ne mentionnerais certainement pas si ce n'était pour ses auteurs, tellement c'est nazissime. on commence par "C'mon, son!", la chronique d'ed lover. respect à ed, parce qu'il fût mon héros, celui par qui gang starr et lords of the underground sont entrés dans ma vie via yo! mtv raps, dans les années 90. donc, big up à toi, ed. mais honte à ton show. en gros, "C'mon, son!" voit notre hôte balancer des diatribes devant un digicam. après chaque pointe, il balance un carton taggé au feutre noir de la fameuse phrase, "c'mon, son!", et lui, adopte la bouille d'arnold. d'abord, on rigole, ça va, c'est un peu drôle comment il gonfle ses lèvres et tout. mais, au bout de 2 minutes, on se force, parce qu'ed saoule quand il commente les déboires, les coups bas et autre gossip du monde du rap qui est très déprimant. à vous de juger.



puis, y a sadat x, mr. black cowboy, membre de la (plus trop crédible) nation of islam, qui descend pour chaque épisode de son émission,"Sadat X - True Wine Connoisseur's" une bouteille entière de mauvais vin pour faire style il s'y connait. il est assis dans une cave avec un pote dj de seconde zone (will tell?) qui le filme avec son digicam sony, pendant que lui braille et boit. il y a quelque chose de triste à voir cet ancien combattant radoter et limite, saliver. je crois que c'est la frustation d'être relégué pionnier old school, de plus trop être dans le coup qui a poussé le brand nubian à faire ivrogne pour youtube. dans une cave, en plus. peut-on tomber encore plus bas question concept? après cet épisode-ci, je crois qu'il vomit.

1.19.2010

I heart Lauren Lee Smith


thanks to clement virgo, ce vieux vicelard. nuff said.

Tune Of The Day

Dear Sir Ben Elton,


Si vous me lisez, sachez que vous avez en moi un nouveau fan. sérieusement, rarement bouquin m'aura tant fait rire et ému, le tout en alternance, d'un paragraphe à l'autre, que votre «High Society», découvert dans le tard, je dois dire. j'en ai même rêvé, c'est dire si votre oeuvre m'a marqué. de tous les personnages, ce sont jessie et tommy hanson qui m'ont gardé éveillé le plus longtemps. la force de l'une (quand elle se fait sa cure de désintox toute seule dans un bordel, entourée de junkos) et la naïveté et la vulnérabilité de l'autre sont deux exemples marquants de la complexité et de la dualité de l'homme, de la faculté qu'il a de (se) construire et de (se) détruire, de se contredire de manière compréhensible, d'être grand et beau, laid et lâche à la fois. nous, de notre côté on avale ces tranches de vies comme des tranches de cheddar, on boit la coupe jusqu'à la lie, et on a toujours soif. c'est qui qui régale, là? des fois, ça donne un peu envie de se camer juste pour voir, puis 3 pages plus tard, on fait la grimace. et avec ça, on n'est même pas dans le kitsch. ben, vous écrivez vite, un peu en freestyle, puis, soudain - et plus on approche de la fin, plus cela est évident - vous êtes touché par la grâce, et boum, il y a une phrase qui chamboule tout le scénario. c'est de la trempe de todd solondz. absurdement vaudevillesque, et tout de même, vrai. à quand donc l'adaptation «on the silver screen»? dans mon rêve, tommy hanson avait la tête de charlie winston, jessie serait interprétée par quelqu'un de pas connue, une fille paumée que je croise de temps en temps en ville. accro elle aussi à un truc dur. je dis ça peut-être, parce qu'au fond, j'aimerais qu'elle s'en sorte, qu'elle aussi puisse chiller sur une plage ensoleillée. tranquille, à l'aise, à l'abris, du genre «stadsbeamtin». comme jessie, cette fille que je croise à la gare est belle et intelligente, mais quelque part, a buté devant un obstacle un peu trop gros, qui lui a coûté bonbon. ben elton, vous avez écrit un grand livre. j'ai peur d'en lire un autre de vous, de peur d'être déçu. le goût que cette lecture m'a laissé en bouche, je veux le garder jusqu'au jour où par hasard, me bouleversera une autre coup de foudre. un peu comme quand j'ai découvert le vieux bukowski. et saul bellow, avant lui. on dit que lire c'est bien. non, non, lire de bons livres, c'est bien. merci ben. ce fût hautement divertissant. et merci sev pour la découverte.

1.18.2010

Coup de bol



la télé est une drogue. la télé c'est le diable et caetera. pourtant, des fois, en de très très rares occasions, on tombe sur des trucs pas mal, comme cette pub pour vivamobile. bon, pas la pub en elle-même, mais la musique qui l'accompagne.j'ai envoyé le lien à tous mes amis beatmakers, et ils sont unamines: c'est du bon boulot. je ne sais pas qui a produit le son, mais je l'embrasse très fort.



pour mes amis, les diggers.

The Teddy Post



woaw! mais c'est du même calibre que le plus chaud des plus chauds des titres de marvin période "What's" euh non, "Let's Get It On". manquent plus que les gémissements. haha.



tune of the day. enjoy.

1.15.2010

R.I.P. Teddy Pendergrass



faut que j'avoue, en tant que soulman ici au luxembourg, je ne me suis jamais trop attardé sur la carrière de teddy pendergrass. bien sûr, comme tout le monde (...), je connaissais les samples, notamment celui-ci, et encore 2, 3 autres trucs. si donc, vous êtes comme moi et voulez accroître votre connaissance de soul brother ou de soulsister, cette mixtape est pour vous. en gros, ce sont un peu moins d'une demi-heure de bouts de morceaux - certains auraient pu être inclus en entier - du légendaire crooner des grands lacs qui ont été pillés par nos amis, les rappeurs. certains ont été des coups faciles comme l'exemple susmentionné, d'autres sont des coups de maître comme celui-ci. comme quoi, on en apprend tous les jours. holla.

Téléchargez DJ Wonder's Teddy Pendergrass Mix ici.

1.13.2010

Si je devais me racheter des baskets...



pfff. nike did it again.

I heart M.I.A.

de supersale humeur avant que je ne tombe sur ca: un nouveau titre de m.i.a. produit par rusko. ca fait du bien de voir que la miss kiffe toujours autant les sons crades et reste à la pointe en matière de collaborations. le vidéo est lo-fi et cheap, mais a quelque chose d'envoûtant surtout quand on l'apercoit en train de se déhancher. ca me rappelle le rock en seine 2007. ce fût CHAUD! me likes me some m.i.a. elle et genre fever ray sont les seuls trucs électro électro qui me font encore... j'allais dire "bander". ha.

1.12.2010

1.10.2010

Tune Of The Day


les gang starr de l'an 10 se nomment dj khalil et chace infinite. ensemble, ils forment self scientific. ils ne représentent pas brooklyn, eux ne jurent que par le soleil de los angeles, celui qui fait selon eux, croître la meilleure beu, et a donné naissance aux plus belles princesses. autant j'accrochais moyennement sur les premiers albums, autant "Designer Music" a l'air vraiment intéressant. d'ailleurs, d'après une source fiable, il y aura peut-être un petit 16 de mos def dans le mix. pour le reste, c'est du rap solide venu tout droit de la cité des anges où l'on ne retrouve en featuring que des gros calibres à l'instar du strong arm steady gang et des step brothers (evidence + alchemist). c'est un album concept (aïe!) au sujet on ne peut plus futile: tout le long de "Designer Music", les rappeurs évoquent leur passion pour la streetwear et autres accessoires qui gravitent de près comme de loin autours de la musique (beu, bitches, blackberry, beamers). c'est ignorant certes, mais c'est servi avec autant de conviction et de sérieux (quand chace évoque la confection de son jean brut "made in japan" il le fait comme s'il s'agissait de réformer la constitution) des deux côtés - beats et flow - qu'on passera outre, allez. le titre sur les baskets, avec krondon et phil da agony était un peu en dessous de la moyenne, je trouve. "Designer Music" en revanche, revient mettre un peu d'ordre dans la boutique, et vous donne envie d'aller au extrabold, tout de suite après.

Mos Def dans le stud'

vous l'aurez compris: moi = gros fan de mos def. donc, tout ce que je capte sur le net est susceptible d'attérir ici. dans ce clip, mos parle de son état d'esprit durant la conception de l'album de l'année, des producteurs avec qui il a bossé, et prend même le temps de répondre à la sempiternelle question: quel avenir pour le hip-hop. je croyais qu'il était déjà lassé d'y répondre en 1999. soit, nous voilà 10 ans plus tard, plus ragaillardi et gouailleur que jamais. jay-z lui-même n'affirme pas de ses propres chansons qu'il les aime toutes, non?

1.07.2010

I heart Nite Jewel


en vieillissant, ce qu'on remarque bien sûr, c'est que nos goûts s'affinent. c'est surtout vrai pour les fringues et la zique. là, je sens que j'ai vraiment développé un faible pour cette scène new-wave funk dont le maître incontesté en 2009 était dam-funk. quoique, ce n'est rien de superneuf. je crois que la première fois que j'ai été exposé à ce son, c'était en 2001 avec le premier metro area. puis, y a eu toutes les prods morgan geist pour le label new yorkais environ. par le biais des compiles soul-jazz, j'ai chopé le béguin pour esg, de là j'ai découvert zé records avec les premiers kid creole & the coconuts. mais, avant ça, y avait d'innombrables soirées trippantes à reykjavik, où chaque soir je prenais une grosse claque musicale. de kid creole on passe facilement au dr buzzard's original savannah band, et on se rend compte qu'on n'est plus en 2010 mais en 1977, quelque part perdu dans le lower east side. la boucle est bouclée. si un gars comme prinz thomas reste encore un peu trop froid à mon goût, boomclap bachelors, non+, owusu & hannibal et quadron prouvent que ça se passe au danemark. là, je viens de tomber sur une chick qui se nomme nite jewel. de son vrai nom, ramona gonzalez, elle elle vient de los angeles. on résumera en dirant que ce qu'elle fait c'est du chic sous codéine. prods lo-fi à souhait composées sur de vieux claviers et enregistrées sur un 8-pistes; le chant languissant rappelle celui d'une sirène échouée sur le dancefloor en fin de soirée, quoiqu'inaccessible, vous faisant croire à la prise d'un psychotrope puissant qu'on aurait injecté dans votre verre tiède.
pour se plonger à fond dans le délire, sa maison-mère, stones throw a sorti ce petit podcast qui compile un peu tous les artistes qui ont cimenté le son nite jewel. à noter aussi qu'elle s'est maquée avec sir dam-funk le temps d'un album. bravo, vous avez deviné: ça s'appelera nite-funk. probablement.

non, mais c'est quoi ces conneries???!!!!


la photo est petite, mais grande est l'indignation. mais, on se moque vraiment des gens au luxembourg. pour la deuxième fois en même pas un an, un journaliste se pavane sur la couv' de la "revue" qui titre pour le coup: revue-journalist unter obdachlosen AUF DER STRASSE. "oulala, le pauvre" qu'ils auraient pu ajouter. hypocrito. qu'est-ce qu'il veut ce stefan kunzmann? une médaille? qu'on s'apitoie sur son sort? le type fait la couv' avec un article tout ce qu'il y a de plus consensuel comme s'il avait inventé la roue, du style: «oh, qu'est-ce qu'il fait froid dehors. ce doit être dur pour les mecs à la rue». et l'eau ça mouille. et la bêtise ça m'énerve. et d'ailleurs, depuis quand, on fait des unes avec des journalistes qui ne font que faire leur taf? c'est venu quand à la mode? mais, donnez la voix aux bannis, ceux qui sont vraiment dans la dèche, punaise! demandez-leur qu'elle sont LEURS galères, LEURS rêves. wa schon, da schon. et arrêtez, de nous faire croire que kunzmann ou qui sais-je est plus noble que nous autres nantis honnis, parce qu'il a osé passé 6 heures dans le froid et a bouffé dans un foyer. dai! le type s'est vraiment «mouillé». le truc m'a dégoûté de la presse locale, j'te jure. les nerfs.

Spike @ Extrabold

venez nombreux et achetez des trucs à lui. y aura de la binouze, du looza et des gens bien habillés. le vernissage c'est demain à 19 h, je crois, au extrabold, 24, av. de la liberté. on se voit.

(Auto-)Tune Of The Day

ai ai ai. flav. à croire qu'il était fait pour l'autotune. là, l'enemi public numéro un a dépassé toutes les bornes. chose encore plus troublante est s'il se prend au sérieux ou si au contraire, il a été tellement loin dans la déconnade qu'il sait qu'il ne pourra plus en sortir. d'où ce titre r'nb molasson tellement mauvais que finalement, on ne peut qu'en rire. et, de toute façon, ça a toujours été son rôle au sein de p.e., de nous faire marrer un peu, alors. "Deeeeeeep in my heart, you know i'll never let you gooooo-ooo-oooo." haha.



p.s.: à qui s'adresse-t-il dans le clip (qu'on croirait d'ailleurs situé à neverland)? à elle ou bien à elle?

1.05.2010

Miracles, answered prayers!

alors là?! mos met la barre très haut. talib, on s'en fout un tout petit peu. et, honnêtement, tant que celui-ci continuera de faire des trucs relous à la idle warship, ou à faire comme si le festival de jazz de montreux c'était le splash festival, une reformation de blackstar me semble peu probable et peu intéressante. et ça, mos le sait, mais ne le dira pas.

1.02.2010

Mon best of 2009

un peu en retard, sachez toutefois que j'y ai pris un malin plaisir. voici donc:

l'album de l'année: "The Ecstatic" de mos def



la blague de l'année: le traité de copenhague



le mec de l'année: bear grylls



la nana de l'année: marie ndiaye



livre de l'année: "Robert Crumb's Genesis"




bouffe de l'année: soupe aux lentilles (peace to kyra)



le film de l'année: "Un prophète" de jacques audiard



le clip de l'année: "Supermagic" de mos def



le groupe de l'année: dirty projectors



la révélation de l'année: fatima (eglo records)



le ridicule de l'année: clip ump



la chanson de l'année: "Levels" de bilal (bye, d'angelo)



la sape de l'année: la veste de marin



la surhype de l'année: mayer hawthorne



le saut en arrière de l'année: la perte de mike



le pays de l'année: la république démocratique du congo

The Mccartney Post Vol. 1




un des meilleurs titres de macca. je l'ai aussi samplé, hé hé. les typos dans le clip tuent.



aussi, suis-je indigné qu'il n'y ait pas de trace de "Monkberry Moon Delight" comme étant un des morceaux phares de l'album "ram" (1971) sur mon site fétiche, warr.org. what's wrong? oh well, ici sur tropik, on kiffe.